« Le Congo est aujourd’hui en train de renaître de ses cendres. Félix Tshisekedi n’a pas de cellule de communication qui fait beaucoup de bruit autour de ses actions. Certains diraient que c’est un tort, d’autres attribueraient ce choix à une forme de modestie, mais moi je pense qu’en politique, quand on pose des actes, il faut que cela soit connu », a déclaré le patron de l’UNC, son parti qui a porté son choix sur Félix Tshisekedi à la présidentielle de décembre.
« Pour la première fois dans notre pays, l’enseignement est gratuit. Des milliers d’enfants peuvent découvrir la lumière qu’offre l’école. Concernant la santé, énumère-t-il, nous avons une grande ambition avec le président Tshisekedi, mettre en place la couverture santé universelle. J’entends beaucoup dire que c’est une folie. Mais moi, je suis partisan de ceux qui rêvent en grand pour le Congo et qui donnent, pour lui, le maximum d’eux-mêmes. »
Celui qui a été condamné en 2020 pour détournement de fonds dans le cadre du programme des cent jours avant d’être acquitté deux ans après a aussi parlé des réalisations dans le domaine des infrastructures de Félix Tshisekedi.
« Il y a eu le Programme des 100 jours, qui a été interrompu, certes, puis celui des 145 territoires… Au moment où nous parlons, on est en train de jeter des ponts au-dessus de grandes rivières, d’installer des lignes à haute tension, de [construire des routes] de Tshikapa vers Kananga, de Kananga vers Mbuji-Mayi. Au moment où nous parlons, la SNCC [Société nationale des chemins de fer du Congo] est en train de renaître de ses cendres, nous avons pu [en juillet] accueillir les Jeux de la francophonie, l’amélioration du climat des affaires permet la construction de nombreux hôtels… Nous avons même pu régler en peu de temps la crise du maïs au Katanga, qui était pourtant récurrente depuis l’époque belge et sous le maréchal Mobutu. Personne n’a trouvé une solution aussi rapidement que le président Tshisekedi ».
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