RDC : la CENCO, « un lion famélique victime de la provocation de la CENI »

RDC : la CENCO, « un lion famélique victime de la provocation de la CENI »

Les relations amicales et fraternelles entre la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) et la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) sont de nature trouble depuis plusieurs décennies aujourd’hui. Après les élections du 20 décembre dernier, Denis Kadima et son institution n’ont pas manqué une occasion de provoquer le camp ecclésiastique pour son silence.

Dans un communiqué du vendredi 19 janvier dernier, Denis Kadima et sa CENI ont dans un communiqué noté une attitude atypique de la CENCO restée silencieuse face à la dernière présidentielle. Pour la CENI, c’est une victoire que les hommes de l’église n’aient pas contesté le résultat provisoire de la récente présidentielle.

« La CENI note que, pour la toute première fois, et même si c’est de manière délibérément voilée, la Cenco ne remet pas en doute les résultats provisoires à l’élection du président de la République annoncés par la CENI en ce qu’elle s’engage à accompagner le vainqueur dans son ultime second mandat. Ce fait, loin d’être anodin, est l’une des preuves indéniables et évidentes du travail extraordinaire accompli par la CENI avec la publication graduelle des résultats aux différents scrutins au centre des opérations et des résultats Bosolo, avec tous les détails y afférents et cela dans la transparence la plus totale », peut-on lire dans ce communiqué.

Revenant sur la responsabilité lui attribuée dans la tricherie électorale, la CENI a déclaré : « Avant d’être des faits matériels, la fraude et la corruption, deux concepts qui transparaissent en filigrane dans le message de la Cenco, sont des actes délibérés qui relèvent fondamentalement de l’éthique et de la morale ».

Notons que les activités de l’opposition politique en RDC sont restées sans succès après l’annonce du résultat en RDC. A en croire les faits sur le terrain, le peuple a choisi de préserver les acquis.

Actu RDC

Les relations amicales et fraternelles entre la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) et la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) sont de nature trouble depuis plusieurs décennies aujourd’hui. Après les élections du 20 décembre dernier, Denis Kadima et son institution n’ont pas manqué une occasion de provoquer le camp ecclésiastique pour son silence.

Dans un communiqué du vendredi 19 janvier dernier, Denis Kadima et sa CENI ont dans un communiqué noté une attitude atypique de la CENCO restée silencieuse face à la dernière présidentielle. Pour la CENI, c’est une victoire que les hommes de l’église n’aient pas contesté le résultat provisoire de la récente présidentielle.

« La CENI note que, pour la toute première fois, et même si c’est de manière délibérément voilée, la Cenco ne remet pas en doute les résultats provisoires à l’élection du président de la République annoncés par la CENI en ce qu’elle s’engage à accompagner le vainqueur dans son ultime second mandat. Ce fait, loin d’être anodin, est l’une des preuves indéniables et évidentes du travail extraordinaire accompli par la CENI avec la publication graduelle des résultats aux différents scrutins au centre des opérations et des résultats Bosolo, avec tous les détails y afférents et cela dans la transparence la plus totale », peut-on lire dans ce communiqué.

Revenant sur la responsabilité lui attribuée dans la tricherie électorale, la CENI a déclaré : « Avant d’être des faits matériels, la fraude et la corruption, deux concepts qui transparaissent en filigrane dans le message de la Cenco, sont des actes délibérés qui relèvent fondamentalement de l’éthique et de la morale ».

Notons que les activités de l’opposition politique en RDC sont restées sans succès après l’annonce du résultat en RDC. A en croire les faits sur le terrain, le peuple a choisi de préserver les acquis.

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