Vendu il y a peu à 500 FC, le prix d’un sachets de trois préservatifs se négocie actuellement à 2.000 FC et même plus dans la ville de Kinshasa.
Pour la population Kinoise, cette augmentation de prix est juste inimaginable et fait grimper les charges des clients dont la vie sociale est déjà largement pris en otage par le coût élevé de plusieurs biens de première nécessité. On ne sait plus à quel saint se vouer, disent-ils, en précisant qu’un pays ne peut jamais marcher de la sorte. Hommes et femmes ne demandent qu’une chose : « diminution du taux des biens sur le marché ».
« Comment voulez-vous que nous soyons fiers de nos autorités si tous les biens coûtent extrêmement chers, jusqu’à augmenter le prix des préservatifs ; ça n’a aucun sens. Que font les autorités en ce moment où tous les prix prennent l’ascenseur. Cette ville de Kinshasa devient invivable, et il ne faut pas qu’ils ( autorités) viennent dire qu’ils n’étaient pas au courant de cette tragédie », a dit une habitante à ActuRDC.
Il convient de noter que le coût de la vie à augmenter de manière vertigineuse dans la capitale de la RDC. Les biens et services valent au-delà des efforts humains dans ce pays de l’Afrique centrale.
Gaël Hombo