Hier lundi, 12 octobre 2020, les artères et chemins de campagnes du pays devaient être pris d’assaut par des milliers et des milliers d’élèves en uniforme qui devaient reprendre le chemin de l’école après la levée de la mesure de confinement prise par les pouvoir publics en rapport avec la danger représenté par la pandémie du Coronavirus-19 !
Malheureusement pour beaucoup de ces jeunes plein d’enthousiasme pour renour avec leurs études après des mois de rupture « accidentelle » la reprise de ce lundi 12 octobre m’aura été qu’un leure, pour ne pas dire une déception, car les portes d’entrée de leurs écoles sont fermées.
A leur retour à la maison ce lundi 12 octobre nombre d’élèves n’ont eu que leurs larmes aux yeux pour expliquer à leurs parents pourquoi leurs écoles n’ont pas été ouvertes à cette date pourtant officiellement ou officieusement annoncée par le ministère de tutelle sous l’égide duquel fonctionne l’ensemble des écoles primaires, secondaires et professionnelles de la République !
Dans certains milieux politiques et sociaux de la ville province de Kinshasa o, a attribué cette rentrée scolaire ratée à l’impéritie du cabinet du ministre concerné ou à la difficulté du ministre Bakonga de comprendre le caractère extrement sensible du secteur qu’il au nom du gouvernement !
Selon plusieurs sources concordantes, les enseignants ont brillé par leur absence dans les écoles le jour de la rentrée de classes, pour exprimer, à l’appel de leurs syndicats, leur colère face au silence du gouvernement devant leurs revendications.
Ces revendications portent entre autres, sur la mécanisation et la paie des enseignants nouvelles unités, l’amélioration des condition salariales et bien d’autres points. Ces revendications sont restées lettres mortes, alors que certains syndicats soupçonnent l’autorité de tutelle d’avoir procédé au recrutement de nombreux fictifs comme enseignants, pendant que plusieurs enseignants effectifs restent impayés depuis des mois, voire des années.
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