Au 28 février 2022, François Beya, l’ancien Conseiller spécial en matière de sécurité du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi, a totalisé 23 jours dans les geôles de l’Agence nationale des renseignements (ANR). 23 jours durant lesquels Beya vit son calvaire sans vraiment connaître les vrais motifs de son interpellation.
A ce calvaire, teinté de mystère, s’ajoute la violation, depuis le week-end dernier, d’un des droits fondamentaux reconnus à tout détenu: droit d’être visité, particulièrement par les membres de la famille proche et le médecin. Hier autorisée à rendre visite à son mari, la femme de Beya, contre toute attente, a été empêchée d’accéder au local où le désormais « prisonnier personnel de Jean-Hervé Mbelu » est gardé. Le fait date du samedi 26 février 2022.
Le dernier carré familial qui apportait de la nourriture à François Beya, a vu ce droit lui être retiré. Des sources proches de la famille de l’ex-patron de la sécurité du Président Tshisekedi, Jean-Hervé Mbelu Biosha, Administrateur général de l’ANR, a ordonné à l’épouse de Beya de « ne plus mettre ses pieds dans ses locaux ». Mbelu, selon les mêmes sources, s’est aussi permis de « menacer » l’âme sœur de son « prisonnier personnel », tout en la prévenant « des mesures drastiques » qui seront prises incessamment.
« On ne sait si ce sera à l’endroit de son prisonnier personnel ou de sa famille », ont ajouté nos sources, relatant qu’après avoir renvoyé la femme de Beya, Jean-Hervé Mbelu lui a passé un coup de fil, l’informant que son mari « serait traité comme tout prisonnier, sans bénéficier de traitement de faveur » et que « dorénavant, les gardiens se chargeront seuls de lui apporter à manger au 4ème où il le détient en toute illégalité ».
D’autres indiscrétions au sein de la famille de l’ancien DG de la DGM, ont laissé entendre, par leurs propos, que l’AG de l’ANR soupçonnerait l’épouse de François Beya de vouloir attenter à la vie de son mari. D’où, à les en croire, le refus d’accès réservé à la moitié de Beya. « Ridicule », ont-elles estimé, percevant ces « mesures comme une violation grave des droits du securocrate détenu ».
Le dernier carré familial qui apportait de la nourriture à François Beya, a vu ce droit lui être retiré. Des sources proches de la famille de l’ex-patron de la sécurité du Président Tshisekedi, Jean-Hervé Mbelu Biosha, Administrateur général de l’ANR, a ordonné à l’épouse de Beya de « ne plus mettre ses pieds dans ses locaux ». Mbelu, selon les mêmes sources, s’est aussi permis de « menacer » l’âme sœur de son « prisonnier personnel », tout en la prévenant « des mesures drastiques » qui seront prises incessamment.
« On ne sait si ce sera à l’endroit de son prisonnier personnel ou de sa famille », ont ajouté nos sources, relatant qu’après avoir renvoyé la femme de Beya, Jean-Hervé Mbelu lui a passé un coup de fil, l’informant que son mari « serait traité comme tout prisonnier, sans bénéficier de traitement de faveur » et que « dorénavant, les gardiens se chargeront seuls de lui apporter à manger au 4ème où il le détient en toute illégalité ».
D’autres indiscrétions au sein de la famille de l’ancien DG de la DGM, ont laissé entendre, par leurs propos, que l’AG de l’ANR soupçonnerait l’épouse de François Beya de vouloir attenter à la vie de son mari. D’où, à les en croire, le refus d’accès réservé à la moitié de Beya. « Ridicule », ont-elles estimé, percevant ces « mesures comme une violation grave des droits du securocrate détenu ».
Le dernier carré familial qui apportait de la nourriture à François Beya, a vu ce droit lui être retiré. Des sources proches de la famille de l’ex-patron de la sécurité du Président Tshisekedi, Jean-Hervé Mbelu Biosha, Administrateur général de l’ANR, a ordonné à l’épouse de Beya de « ne plus mettre ses pieds dans ses locaux ». Mbelu, selon les mêmes sources, s’est aussi permis de « menacer » l’âme sœur de son « prisonnier personnel », tout en la prévenant « des mesures drastiques » qui seront prises incessamment.
« On ne sait si ce sera à l’endroit de son prisonnier personnel ou de sa famille », ont ajouté nos sources, relatant qu’après avoir renvoyé la femme de Beya, Jean-Hervé Mbelu lui a passé un coup de fil, l’informant que son mari « serait traité comme tout prisonnier, sans bénéficier de traitement de faveur » et que « dorénavant, les gardiens se chargeront seuls de lui apporter à manger au 4ème où il le détient en toute illégalité ».
D’autres indiscrétions au sein de la famille de l’ancien DG de la DGM, ont laissé entendre, par leurs propos, que l’AG de l’ANR soupçonnerait l’épouse de François Beya de vouloir attenter à la vie de son mari. D’où, à les en croire, le refus d’accès réservé à la moitié de Beya. « Ridicule », ont-elles estimé, percevant ces « mesures comme une violation grave des droits du securocrate détenu ».
Voilà qui suscite ire et désolation dans le chef des rejetons de Beya à qui Georges Kapiamba, président de l’ONG Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ), a tenté de rassurer de l’engagement de l’AG Mbelu que les droits fondamentaux du détenu, particulièrement celui d’être visiter par sa famille et son médecin, seront respectés. Que vaut cet engagement à ce jour?
Alors qu’il bruissait une possibilité de relâcher l’ancien «monsieur sécurité» de Félix Tshisekedi le week-end, les choses se sont davantage corsées. C’est en fait en repressailles à la dénonciation de sa famille sur «le traitement infligé» à François Beya, qu’après les avoir renvoyé de l’ANR avec le repas, qu’il poursuivra à travers un appel téléphonique ses menaces à la famille avec en sus des mesures drastiques.
Depuis son arrestation, un flou enveloppe le dossier François Beya. Jusqu’à ce jour, les faits précis lui imputés restent inconnus. Dans son communiqué du 8 février dernier, la Présidence de la République a évoqué uniquement «des indices sérieux attestant d’agissements contre la sécurité nationale ».
Depuis lors, rien n’a filtré de concert. Ni une autre communication officielle attestant ces faits ci- haut évoqués. De toute évidence et au regard de ces différentes bourdes, la famille de François Beya Kasonga attend le retour de celui-ci en homme libre. Car, jusqu’à preuve du contraire, son dossier est bien vide. Sinon alors, son juge naturel devrait se saisir du dossier./opinion-info.cd