RDC : Le député Daniel MBAU appelle au civisme constitutionnel

Au regard de l’incertitude de l’avenir de la jeunesse, le député national preche au civisme constitutionnel. La jeunesse constitue un levier essentiellement important pour l émergence de nôtre pays écrit-il.
Pour lui, la jeunesse traduit l’expression non redoutable du développement du pays, Elle est en réalité le miroir mieux la clé de voûte d’espoir d’un peuple. Un pays ne saura se développer sans l apport de cette jeunesse ajoute t il.

Dans cette veine de changement de conscience, nous devons dorénavant nous prendre effectivement en charge Avant de poursuivre en ces termes, levons nôtre voix pour dénoncer tout complot entretenu par les ennemis < les gourous > de la République.

La RDC est un patrimoine commun le plus précieux que nous avons.

Elle n appartient ni à la majorité au pouvoir ni à l’opposition rappel l’élu de mont Amba.
Le député Daniel MBAU appelle à mettre de côté nos égos aux fins de privilégier l intérêt supérieur de la nation.
Ne soyons pas cette jeunesse au service d’un individu ou groupe d’individus qui sont là pour détruire et déraciner les présupposés axiomatiques qui fondent nôtre pays conscientise t il.
Soyons une jeunesse consciente, émergente et visionnaire.
Combattons et dénonçons avec fracas les anti valeurs entre autres le népotisme, le clientélisme, le tribalisme, le favoritisme que sais-je encore… dans la gestion de la RES PUBLICA recense t il.
Pour l’élu du MLC, Soyons artisans et partenaires de la paix et de la Concorde .
Avant d’ajouter : menons à présent des actions citoyennes qui permettent et contribuent sans ambages au changement intégral de la mentalité du peuple congolais.
La transformation de cette mentalité congolaise devient désormais une nécessité et une impérativité dans le but de rationaliser, ratiociner et moraliser la classe politique congolaise indique t il.
Celui-ci estime ensuite que la crise qui sombre le pays depuis des décennies a comme l’une des causes le manque d’une bonne mentalité Républicaine dans les chefs tant des gouvernants que des gouvernés.
Considérons nous dans nos relations interpersonnelles comme frères et sœurs nonobstant nos appartenances tribales différentes note t il.
Avant de conscientiser : Participons tous à la cohésion nationale, au vouloir vivre ensemble, à l’unité, à la solidarité et à l’union nationale.
Nous semblons être faibles parce que nous sommes divisés à cause des petits dédains qui ne nous avancent à rien se plaint il.
Avant de conclure, nos textes sont tordus, torpillés au point de devenir des simples chiffons de papiers, des coquilles vides pour ne pas dire des lettres mortes parce que le mental des ceux qui sont censés les appliquer, les faire respecter est altéré voire même détérioré.

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