RDC : Françine Muyumba tacle l’UDPS et la diaspora au pouvoir
Les tractations qui enveniment les relations dans l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) ne cessent de faire réagir les politiques en République Démocratique du Congo. “Le mal du peuple était Joseph Kabila, affirme la sénatrice Francine Muyumba, lorsqu’elle rapporte les propos tenus par l’UDPS lorsque le parti présidentiel était encore dans l’opposition”. Le proche de l’ancien président déplore la casquette du «diable du Congo» qu’a longtemps revêtu Kabila Kabange.
La sénatrice et proche de l’ancien président, Joseph Kabila a indiqué qu’à l’époque, les membres du parti du sphinx de Limete, avec l’influence des forces extérieures avait donné à l’autorité morale du Front Commun pour le Congo (FCC) l’image du diable du Congo.
A en croire l’ancienne présidente de l’Association Panafricaine de la Jeunesse, la diaspora congolaise était téléguidée afin de faire obstacle à l’ancien régime. Certains politiques, estime le proche de Joseph Kabila, instrumentalisés les membres de la diaspora contre le fils de M’ZEE Laurent Désiré Kabila mais en ce jour, ce membre de la chambre haute du parlement s’interroge sur les résultats de cette diaspora aujourd’hui au pouvoir. Muyumba aimerait voir les résultats du travail abattu par la diaspora congolaise depuis son accession au pouvoir.
“ Lorqu’ils étaient dans l’opposition avec la manipulation des forces extérieures, ils ont fait croire aux congolais&au monde entier que le diable du Congo était Kabila. La diaspora était aussi instrumentalisée contre JK. Aujourd’hui la diaspora au pouvoir,quels sont les résultats?”, peut-on lire sur son compte Twitter.
Les membres du Front Commun pour le Congo (FCC) ne cessent de tacler le régime Tshisekedi depuis son accession au trône, depuis l’annonce de la démission du vice-président de l’Assemblée Nationale, Jean-Marc Kabund-A-Kabund encore un peu plus. Pour certains membres de l’ancien régime, la succession d’événements en République Démocratique du Congo annonce le début de la fin du régime Tshisekedi.
Gaël Hombo/acturdc.com