Le président de l’assemblée nationale se radicalise davantage sur sa détermination d’offrir un second mandat à Félix Tshisekedi au point d’en faire une question de vie ou de mort. A quelques deux mois du début de la campagne électorale, Christophe Mboso N’Kodia présente le chef de l’État comme l’unique candidat à la présidentielle de 2023 qui réunit “les qualités morales et républicaines remarquables”, et conserve “une forte personnalité et les capacités de répondre aux attentes légitimes de la population« .
Au congrès de l’Union Sacrée de la nation, ce dimanche 01 octobre, qui s’est soldé par la désignation de Félix Tshisekedi comme candidat, Christophe Mboso qui l’a annoncé, est revenu sur certaines des réalisations de leur ticket à impact visible. Il y a lieu de noter: la ratuité de l’enseignement primaire; le programme de développement local de 145 territoires; l’organisation réussie et sans faille des 9ème jeux de la francophonie; le recrutement des nouvelles unités suivi de leur mécanisations; la représentation des femmes aux instances de prise de décision; la couverture santé universelle avec la gratuité de la maternité; la montée en puissance des FARDC; etc.
D’après le président de l’assemblée nationale qui fait partie du présidium de l’Union Sacrée de la Nation, aux côtés du Premier Sama Lukonde (AB), du VPM de l’économie Vital Kamerhe (UNC), du VPM de la défense Jean-Pierre Bemba (MLC) et Augustin Kabuya (UDPS), “Ce bilan élogieux sera présenté au peuple pendant la campagne électorale ».
La désignation de Félix Tshisekedi est un cheval de bataille de la Convention pour la République et la Démocratie ( CRD), parti politique cher au speaker de la chambre basse du parlement. Il a su, bien avant tous les états majors politiques de l’Union Sacrée, porter le choix du fils Tshisekedi pour les futures échéances électorales sur ses épaules. Comme visionnaire, il avait déjà plébiscité Félix Tshisekedi comme candidat à la présidentielle à Kwango, au terrain municipal de Masina et au terrain Vélodrome de Kintambo, tous à Kinshasa.
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