Du spectacle à l’UNPC, Union Nationale de la presse du Congo. Des observateurs crient au scandale après que cette structure censée organiser la corporation journalistique en République Démocratique du Congo soit transformée en boutique privée où tout se passe. Une anti-thèse de l’UNPC de triste mémoire. Conséquence, la boîte largue la mort sur le terrain. Une poubelle où l’on y déverse tout.
L’Union Nationale de la presse du Congo est prise dans son propre piège lié à une organisation interne ne tenant plus sa raison d’être que sur base de la complaisance. Certains responsables de cette ASBL, relève un analyste, ne sont pas à la hauteur de leurs tâches. Une réalité plus que triste et choquante. Aussi, selon des sources basées à l’immeuble de la Presse, siège de l’UNPC, la commission de discipline est indexée pour des bévues à répétition.
Plus rien de sérieux, Son chef, « est constamment accusé de percevoir des pots-de-vin pour exécuter des décisions des labos ».
François Kabulo Mwana Kabulo, parceque c’est de lui qu’il s’agit « n’a pas de leçons à donner à qui que ce soit », tonne l’interlocuteur du media non-aligné. Radier Péro Luwara sur qui pèsent des graves griefs est une décision louable. Cependant, nul n’est au dessus de la loi. L’on se souviendra que le même Kabulo est coupable d’injures à l’égard des joueurs de l’équipe nationale de football, les Leopards tenus en échec par le Maroc lors des Barrages comptant pour le Mondial Qatar 2022. Q’en est-il de son sort? Zéro échos.
L’on ne donne que ce que l’on possède. L’UNPC offre à la corporation et au monde l’image de son organisation interne, renchérit l’analyste qui insiste sur le retour aux valeurs fondamentales à la base de la création de l’UNPC. Le contraire selon lui, signifie perpétuer le chaos actuel./mediascongo.net