L’évolution de la technologie associée à la politique sont aujourd’hui source de plusieurs barbaries dont notamment la prolifération des discours et propos dont la substance est tout sauf démocratique dans la sphère politique. En RDC aujourd’hui plus qu’hier, les réseaux sociaux sont le centre de l’avènement du vent dont le seul objectif est de créer une liturgie politique au dépend des autres challengers. Plus que jamais, la jeunesse se trouve être la cible des hommes des loges politiques.
Les familles politiques sèment les vices
Les partis et regroupements politiques en RDC sont responsables de la déchéance du climat de vivre ensemble dans le chef de la population en organisant des armées numériques dans le seul but de nuire aux intérêts des autres politiques. La politique en RDC se vœu à l’heure actuelle, une jungle auteur de la promotion des antivaleurs dont notamment la bagarre, les discours tribalistes et la diffamation.
Qu’ils soient de la majorité présidentielle ou de l’opposition, les partis politiques s’evertueraient à acheter des journalistes pour véhiculer des fausses informations dans le but de se faire accepter ou de salir l’image des autres. Chacun tient bon dans ses convictions peu importe la teneur de la déviation de celles-ci. Les familles politiques passent donc avant le souverain primaire.
Un peuple perdu faute d’éducation
Le peuple congolais est aujourd’hui esclave de discours politiques de tout genre faute d’une instruction de taille. Le constat révèle que les dirigeants profitent du manque d’informations sur la liturgie politique et ses contours pour véhiculer des âneries sachant que les militants acquis à leurs causes n’auront pas assez d’éléments pour juger leurs propres leaders.
Ici aussi, le fanatisme aigu tue les congolais qui vont dans les extrêmes sachant bien que les propos de leurs leaders ne sont pas des paroles d’évangile. Ce deuxième élément fait en sorte que certains, connaissant la vérité, acceptent de la tordre afin de donner du crédit à leurs maîtres. Par le manque d’instruction sur le numérique et le fanatisme à outrance, le peuple se trouve victime d’une série d’informations fallacieuses favorisées par lui-même.
Gaël Hombo