Face aux “actions citoyennes” promises par le bloc Fayulu, Katumbi, Kabila et Muzito; l’UDPS annonce sa descente dans la rue

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Augustin Kabuya, Secrétaire Général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a réagi après la déclaration commune des forces politiques et sociales constituées notamment du Nouvel Élan de Adolphe Muzito, de l’Engagement pour la Citoyenneté et le Développement de Martin Fayulu, Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, Font Commun pour le Congo de Joseph Kabila, Comité Laïc de Coordination (CLC) et le Tandem CALCC-MILAPRO exigeants un consensus sur la CENI et la loi électorale. Le cadre du parti présidentiel a annoncé la descente dans la rue de son parti pour riposter contre les prétendues «actions citoyennes de grande envergure» qui seront misent sur pied par la nouvelle équipe anti-Kadima. Pour lui, cette union n’est qu’un retour à la case départ.

«Quant ils parlent de manifestations de grande envergure, nous allons aussi organiser des manifestations. Comme on veut nous retourner dans la rue, nous sommes disponibles à faire cette démonstration avec nos amis», a indiqué Augustin Kabuya au micro de Top Congo FM.

La 2ème personnalité du parti présidentiel reproche à ces hommes d’avoir travailler avec Joseph Kabila. Poul lui, ces gens qui disent mettre en place des grandes actions citoyennes ne veulent que bercer l’opinion parce que n’ayant plus rien à dire. Il fait savoir qu’ils n’ont plus rien n’a dire après avoir trahi Joseph Kabila qui lui, avait tous mis en place pour leur bien-être global.

Dénonçant le cas de Moïse Katumbi, Augustin Kabuya éclaire l’opinion en indiquant que Moïse Katumbi était allé chercher les postes du premier vice-président et du rapporteur de l’Assemblée Nationale. Le secrétaire poursuit en faisant savoir que ces émissaires avaient clairement dit que Kadima n’était pas le problème mais seulement, ils étaient contre FCC l’aile Union Sacrée. Il trouve le comportement de l’Ensemble pour la République être motivé par l’échec lors de la poursuite des sièges du bureau de l’Assemblée Nationale.

Il convient de retenir que les forces politiques et sociales précitées ont décider d’agir ensemble via les moyens légaux afin d’aboutir à un consensus sur le bureau de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) et sur la loi électorale pour l’organisation des élections crédibles, libres, transparentes et apaisées conformément à la Constitution.

Gaël Hombo/acturdc.com

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