Dossier judiciaire du révérend pasteur Paul Mukendi : Pourquoi la Radio Canada s’agite-t-elle ?

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Depuis que le pasteur Paul Mukendi, exfiltré du Canada, donne aux médias congolais à Kinshasa où il se trouve présentement, sa version des faits sur le déroulé du procès où il s’est vu condamné à 8 ans de prison dans une affaire de présumée agression sexuelle, c’est la Radio Canada qui s’est mise en branle.  Ses responsables sont sur tous les fronts pour dissuader les médias congolais dans ce dossier comme ils l’ont fait pour conditionner l’opinion canadienne.

De Congo Buzz, en passant par Actualité.cd, Congoprofond.net, La Prospérité…, les responsables de Radio Canada n’ont épargné aucun responsable de ces médias congolais avec leurs coups d’appel d’avocat de la justice canadienne et de défenseur de la réputation du Canada. Sur deux de ses numéros, le directeur général de Scooprdc.net a raté, ce mardi 19 octobre juste après la publication par son média du contenu de la conférence de presse du pasteur Paul Mukendi, les appels du numéro  +14186568566.

Dans un article publié le 18 octobre dernier par Radio Canada intitulé « Affaire Mukendi : campagne de désinformation contre la justice canadienne », son auteur, David Rémillard, dépeint une presse congolaise achetée pour relayer la cause du pasteur « fugitif ». Ce qui est à la limite une injure. Dans un autre article publié le 19 octobre et intitulé « Manipulation, oppression financière : la face cachée de l’église de l’Eglise de Paul Mukendi », cette fois-ci sous la plume de Alexandre Duval, l’homme de Dieu est déculotté à souhait par la Radio Canada.

Mais ce qui intrigue dans toute cette démarche de la Radio Canada, c’est sa volonté, non seulement de vouloir obtenir des médias congolais le retrait de leurs sites de toutes les publications faites sur les déclarations du pasteur Paul Mukendi, mais aussi de museler ces derniers dans le traitement de ce dossier d’un citoyen qui se dit persécuté. Sur base de quel principe déontologiquement journalistique un média peut obliger un autre de ne pas traiter un sujet quelconque ou de retirer un article déjà posté sur le site ?

Cette attitude a été dénoncée par Me Stéphane Kezza, avocat du pasteur Paul Mukendi, dans une conférence de presse conjointement animée avec ce dernier, mardi 19 octobre à Kinshasa. L’avocat a fustigé le traitement partisan et orienté par les medias canadiens dans le traitement du dossier de son client. A lire seulement l’article précité d’Alexandre Duval, tout porte à croire qu’une mission de destruction de l’image spirituelle du pasteur Mukendi a été confiée aux médias canadiens.

Non sans raison, alors que la police québécoise a fait intrusion dans la maison du pasteur la nuit du 12 octobre dernier, sans aucun document judiciaire et a pénétré dans la chambre à coucher pour y extraire sa femme en plein sommeil, les médias canadiens ont occulté cette bavure policière pour parler d’une femme appréhendée comme si elle était en cavale. Ils ont tout simplement évité d’évoquer la « violation de domicile » et « l’enlèvement » commis par les policiers. Pourquoi ce traitement biaisé ?

Les faits mentionnés dans le jugement commis au Québec et qui motivent la condamnation du pasteur Paul Mukendi, remontent de 2001 et 2002 alors qu’il est arrivé dans cette ville pour la première fois, preuves du service de migrations canadien à l’appui, en 2003. Telle la fable de « Le loup et l’agneau » de Jean de Lafontaine, le pasteur Paul Mukendi s’est vu, malgré cette preuve de taille, condamner à cause de la raison du plus fort. Aucun média canadien, surtout pas la Radio Canada n’a fait cette analyse de savoir comment quelqu’un qui n’était pas dans Québec pendant la période évoquée de commission d’infraction, peut-il être condamné !

Guerre des homosexuels ligués contre l’évangile

Ceux qui ont des yeux ordinaires et faibles en esprit, croient et gobent facilement la campagne de diabolisation faite contre le pasteur Mukendi par ceux-là qui ont utilisé le viol, arme d’ailleurs souvent très prisée en occident pour anéantir les adversaires ou les personnes qui dérangent. Mais ceux qui ont des lunettes ou des loupes aux verres volumineux, ont une autre lecture de cette affaire prise à bras-le-corps par la Radio Canada : il s’agit d’une solidarité des homosexuels dont les intérêts, mieux les pratiques étaient ou sont mises en mal par les prédications du pasteur Paul Mukendi au regard de l’évangile du Christ.

Partant du proverbe africain qui dit que « lorsqu’on de pépins avec le cochon, on ne prend pas le sanglier pour témoin »,  il est évident que le combat engagé par les responsables de la Radio Canada qui sont des homosexuels, rentre dans le cadre de la défense de leur « confrérie » de contre-nature où l’on retrouve aussi certains animateurs de la justice canadienne. Et pour en découdre avec le « fameux dérangeur Mukendi », il fallait lui coller au dos une affaire de viol, malheureuse mal ficelée.

« Il faut que l’opinion sache que rien ne nous ébranle et rien ne nous arrête. Nous sommes débout en dépit de toutes les manigances de l’ennemi et des gens de mauvais cœur. Nous sommes, moi, ma famille ainsi que tous les membres du ministère Paul Mukendi, l’objet de beaucoup d’actes et de décisions d’intolérance et de méchanceté commandités par des adversaires sans visage, ayant les bras longs au point de manipuler à leur guise, même dans un pays comme le Canada, jouissant pourtant d’une réputation d’Etat de droit, aussi bien l’appareil judiciaire que les médias », a déclaré le pasteur Paul Mukendi lors de la conférence de presse animée mardi 19 octobre 2021 à Kinshasa (Lire l’article de Scooprdc.net : ).

Dans son message livré au cours de ce face-à-face avec la presse de Kinshasa, l’homme de Dieu a invité les Chrétiens à l’accompagner dans ce combat de l’évangile en luttant contre l’injustice et les antivaleurs dont l’homosexualité, n’en déplaise à Radio Canada.

scooprdc.net

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