La situation n’a toujours pas évolué à la résidence de Jean Marc Kabund. Les combattants qui le supplient de revenir sur sa décision en retirant sa démission de son poste de premier vice président de l’Assemblée nationale n’ont guère obtenu gain de cause.
Face à ce qui paraît comme une mission impossible, certains combattants ont commencé à accuser certains proches conseillers du Président de la République d’être à la base de ce qui vient d’arriver.
Pour eux, cette démission précédée de l’incident du sabotage de la résidence de l’élu de Kinshasa par la garde républicaine n’est qu’une goutte qui a débordé le vase.
A les en croire, plusieurs conseillers dénoncés pour incompétences ont entretenu un climat délétère au sein de cette famille politique jusqu’à isoler le président a.i de l’UDPS Jean Marc Kabund du chef de l’État.
Entre-temps, la démission annoncée par Kabund via son compte tweeter n’a pas encore atterri dans les installations de l’Assemblée nationale pour suivre finalement son cours normal.
Le président de cette chambre Christophe Mboso est même descendu sur place pour essayer de jouer au sapeur-pompier mais depuis, aucune autre déclaration de Kabund n’a été prononcé allant dans le sens de calmer les esprits et ou de clarifier son tweet aussi constaté, sous prétexte de piratage informatique de son compte.
Toutefois dans un échange avec les combattants quelques après son annonce de démission, il a rassuré que sa décision rentre dans leur intérêt tout en les promettant de ne pas les trahir.
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