Albert Mukulubundu, porte-parole du parti Nouvel Élan et proche de Adolphe Muzito a, au nom du parti qu’il représente, haussé le ton pour dénoncer la magouille Tshisekedi-Kabila. Le membre du Lamuka indique que les deux hommes politiques se sont repartis les rôles, l’un jouant le rôle de la majorité et l’autre, le rôle de l’opposition afin d’accorder au peuple congolais des échéances électorales teintées de tricherie en 2023 comme ce fut le cas en 2018.
A. Mukulubundu éclair l’opinion en soulignant que la vision prise par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) et ses commanditaires est contraire à celle des réformes tant souhaitées par la plateforme Lamuka. La persistance du dull, estime le porte-parole du Nouvel Élan, ne vise qu’à tourner le dos aux élections transparentes souhaitées par les enfants du Congo.
« Nouvel Élan dénonce la planification de la tricherie orchestrée par Kabila et Tshisekedi. Kabila et Tshisekedi se sont repartis les rôles, l’un jouant le rôle de l’opposition et l’autre, le rôle de la majorité. (…) Cette stratégie a été créée pour tourner le dos aux réformes visant la transparence des élections en 2023 et de bipolariser la CENI avec le FCC et l’Union Sacrée», a déclaré Albert Mukulubundu, porte-parole du Parti Nouvel Élan.
Dans la foulée, le proche de Adolphe Muzito martèle :
« Nouvel Élan demande à tout le peuple congolais à faire échec à cette stratégie».
La question de la composition du bureau de la CENI ne cesse de faire couler beaucoup d’encres et de salives au sein de l’élite politique congolaise. Le jeudi 13 janvier 2022, devant la Cour constitutionnelle à Kinshasa, en République démocratique du Congo, 3 délégués de l’opposition prêté serment. Ces 3 délégués étaient Didi Manara, deuxième vice-président, Âgée Matembo, questeur et Jean Ilongo, membre de la plénière de cette institution d’appui à la démocratie.
Gaël Hombo/acturdc.com
