« Ils ont disséminé ces écoles fictives à l’intérieur du pays…Dans des endroits où vous n’avez pas la possibilité de vérifier…C’est pour cela que nous avons eu beaucoup de temps avec nos services à l’intérieur pour vérifier la réalité de ces écoles », a dit le chef de service de l’inspection générale des finances.
Le patron de l’IGF qui répondait aux questions de RFI explique que la RDC perd plus de 3 millards de francs congolais donc 1 millions 500 milles dollars chaque mois à cause de “tout ce phénomène là dans la paie et même dans les frais de fonctionnement du ministère de l’enseignement primaire et secondaire ».
Quant à l’arrestation du directeur de la SECOPE et de l’interdiction de quitter Kinshasa qui pèse sur Willy Bakonga, Jules Alingete ne veut pas qu’on se limite aux arrestations.” Il faut qu’on aille jusqu’au procès, que tout le monde sache ce qui s’est passé au niveau de l’enseignement pour que ces pratiques ne reviennent plus dans notre éducation ».
« Les responsable de ce problème au niveau de l’enseignement doivent savoir que leur comportement est un sabotage qui nous crée beaucoup de problèmes même avec les institutions internationales qui nous appuient en matière d’éducation », a-t-il conclu.
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