L’ancien Président de la République est sous les projecteurs des velléités à la sécession Katangaise distillée par certains leaders de la riche province minière au Sud-est de la République Démocratique du Congo.
La plupart des notables soutiennent depuis l’avènement de Félix Tshisekedi à la magistrature suprême que celui-ci installerait la dictature au pays et serait en train de faire apologie du tribalisme.
Pas plus tard que le week-end dernier, Kyungu Wa Kumwanza avait alerté une probable attaque des séparatistes qui cherchent à déclarer l’indépendance du Katanga.
Joseph Kabila accusé à tort !
Plusieurs jeunes et notabilités de l’ex province du Katanga sont partis voir Joseph Kabila à Kashamata afin de lui soumettre leur plan et vision sur le Katanga se basant sur la situation de crise générale que traverse le pays.
La réponse du Raïs a été d’une opposition virulente. Joseph Kabila s’est appuyé sur son passage à la tête du pays. Alors que la RDC était déchirée par des rébellions de toutes parts , le successeur de Laurent Désiré Kabila , assassiné le 16 janvier 2001, s’est engagé à pacifier, réunifier le pays , lui laisser une constitution et des Institutions stables et solides. Aujourd’hui, le patron de Kingakati ne voit aucune raison de prôner le séparatisme et fouler aux pieds tous les gros efforts entrepris durant son mandat.
D’ailleurs, on connaît depuis la nuit des temps les joueurs et le jeu qui s’obstinent à voir le Katanga » indépendant ».
« Si vous voulez la paix, si vous voulez que le Katanga ne soit pas coupé, il faut respecter Joseph kabila », disait-il notamment le Pasteur Ngoy Mulunda dans son prêche du 16 janvier à l’occasion du 20e anniversaire d’assassinat de Mzée Kabila.
Des propos qui lui ont valu une interpellation brutale ce lundi 18 janvier , par l’ANR de Lubumbashi.
24h.CD/acturdc.com