Le président des progressistes et premier vice-président du Sénat, Samy Badibanga Ntita a lancé une sonnette d’alarme sur la situation politique qui empoisonne la coalition FCC-CACH au pouvoir et formule quelques suggestions au président de la République Félix Tshisekedi et aux congolais de tous bords.
Le premier vice-président du Sénat dénonce la main mise sur la CENI ; main mise que Badibanga considère comme cause majeure d’une mauvaise organisation des élections de 2018.
selon Badibanga le fruit des crises politiques actuelles.
Évoquant le Coronavirus, Samy Badibanga explique que le Covid-19 est non seulement un élément fatal mais aussi pathologique.
Pour lui, le Covid-19 c’est une opportunité pour nous, États faibles de se réveiller, de s’organiser et de devenir indépendants mais aussi, pour les États qui se croyaient puissants de se rendre à l’évidence.
L’ancien premier ministre, Samy Badibanga, s’exprimant sur la coalition FCC-CACH, demande au président de la République Félix Tshisekedi de s’assurer pleinement de ses prérogatives en tant que garant de bons fonctionnements des institutions notamment sur la situation de Minembwe, sur le rapport Mapping ; de laisser la justice engager des poursuites à tous les niveaux…, insisté rien que sur la justice,
ainsi de tenir compte de la géopolitique nationale dans les prochaines nominations pour ne pas tomber dans les provocations tribales.
Au FCC, le premier vice-président du Sénat demande au FCC de dire clairement à l’opinion nationale qu’internationale qu’il a levé l’option de la cohabitation au lieu de continuer à paralyser la vie des congolais.
Il a par ailleurs appelé la société civile de cesser d’être des petits de courses des politiciens, d’être guidée que par l’intérêt national, dans le message de la rentrée politique de son parti politique les progressistes.
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