En sit-in ce vendredi 25 septembre 2020 au palais de justice à Kinshasa, les associations Kamerhiste dénoncent une justice à double vitesse dans le traitement du dossier de leur leader et directeur de cabinet de Félix Tshisekedi, Vital Kamerhe condamné à 20 ans de prison.
Exigeant l’effectivité de la justice, ces associations qui soutiennent Vital Kamerhe s’indignent de l’attitude de la justice face à leur leader.
Ces associations pointent du doigt les dossiers de ceux-là qui ont été relaxé. Sur la liste, le DG de la Rawbank qui se trouve aujourd’hui en Belgique.
Il y a aussi Blattner et la DG de la direction générale des recettes de Kinshasa ( DGRK), le directeur de l’office de route, le dossier Baramos qui ont tous bénéficié de la liberté.
Les sympathisants de Kamerhe se demadent si Vital Kamerhe est devenu un symbole de la justice. La demande de la liberté provisoire lui a été refusée à 12 reprises et pourtant sa fuite n’est pas à craindre, souligne-t-on du côté de ses partisans.
Par ailleurs, les Kamerhiste ne n’expliquent ce refus alors que les personnes ci-haut cités ont été extrait de la justice.
Se refusant le droit de confirmer que Vital Kamerhe est devenu un sacrifice de clubs politiques, les associations Kamerhiste sollicitent du premier président de la cour d’appel de Kinshasa / Gombe, la libération de Vital Kamerhe pour qu’il bénéficie des soins appropriés car la vie humaine disent-ils, est sacrée.
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