La condamnation de Jacky Ndala à 2 ans de prison et une amende de 500 000 Franc Congolais divise la classe politique. S’il bénéficie du soutien des membres de son parti, Ensemble pour la République, il n’en rien pour ses adversaires politiques et loin, les défenseurs des Droits de l’Homme.
Jean-Claude Katende, président national de l’ASADHO approuve la démarche de la justice. “La condamnation de Jacky Ndala doit interpeler tous ceux qui abusent de la liberté d’expression. On peut être ferme contre ses adversaires sans les insulter, sans violence, sans menaces…C’est aussi ça la démocratie“.
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