« Je ne suis pas le candidat d’un quelconque camp politique », affirme à TOP CONGO FM, le candidat Denis Kadima, présenté pour la présidence de la CENI par 6 des 8 confessions religieuses.
« La CENCO ferait bien de produire des preuves circonstanciées et les noms des corrupteurs et corrompus, pour faire éclater la vérité », indique dans un communiqué, son équipe de communication.
Accusé par le secrétaire général de la CENCO, d’être à la base et le bénéficiaire de corruption et d’intimidations pour lui permettre d’être désigné président de la CENI, le candidat Dénis Kadima (photo), met au défi l’abbé Donatien Nshole de prouver ce qu’il affirme.
Et s’interroge sur les fondements des accusations du clergé catholique, qu’il regrette.
« Il est inacceptable de jeter des pierres à un citoyen et le condamner sans preuve, (sur la seule) base d’allégations d’actes prétendument (car non prouvés) posés par des tierces personnes… ».
Le communiqué revient aussi sur le fait que « le 27 juillet 2021, le candidat Denis Kadima est passé au grand oral devant les 8 confessions religieuses. Il a répondu à toutes les questions lui posées. A aucun moment il ne lui a été signifié des faits d’intimidation et de corruption ».
Se réclamant « candidat à la présidence de la CENI par patriotisme et parce qu’il connait les profondes aspirations de ses concitoyens pour des scrutins inclusifs et sincères », Denis Kadima dit rester « persuadé que la CENCO (et l’ECC) ont été induites en erreur dans les faits qui leur auraient été rapportés ».
Denis Kadima demande à « être jugé non par présomption et procès d’intention, mais uniquement à l’œuvre et sur le terrain »
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