La République Démocratique du Congo connaît des agitations sur plan politique. L’entérinement de Ronsard Malonda par la chambre basse du parlement et la proposition de loi Minaku-Sakata alimente plus controverse et plonge le pays dans une crise politique couplée à celle sanitaire liée à la pandémie du Coronavirus Covid-19.
Si beaucoup d’acteurs politiques et de la société civile s’accordent pour exiger des réformes de la centrale électorale et rejettent la proposition de loi Minaku-Sakata, Claudel Lubaya, élu de la circonscription électorale de Kananga dans la province du Kasaï-central évoque la possibilité de dresser un bilan comme un impératif.
« Les affaires Minaku-Malonda bousculent les agendas politique et posent l’impératif d’une évaluation à mi-parcours de l’alliance et de la mandature. Sans cela, le peuple déchaîné, impatient de voir les retombées de l’alternance, risque d’imposer aux uns et aux autres son dernier mot », écrit Claudel Lubaya.
Depuis l’entérinement de Ronsard Malonda à la tête de la Commission Électorale Nationale Indépendante et la proposition de loi Minaku-Sakata, les manifestations des partis politiques, société civile et mouvements citoyens se multiplient à travers le pays.
Les affaires Minaku-Malonda bousculent les agendas politique et posent l’impératif d’1 évaluation à mi parcours de l’alliance et de la mandature. Sans cela, le peuple déchaîné, impatient de voir les retombées de l’alternance, risque d’imposer aux uns et aux autres son dernier mot pic.twitter.com/FIMcbV00LV
— Lubaya Claudel André (@LubayaClaudel) July 13, 2020
Acturdc.com