RDC : ce que préconise la loi Tshiani

Noël Tshiani Mwadiavinta et son émissaire Nsingi Pululu continuent à pulvériser les politiques congolais avec la loi “Tshiani”. Avec les nouvelles modifications apportées, la loi est devenue “la bête à abattre” dans l’optique que ces aspirations sont considérées par certains politiciens comme “suicidaires”.

La “loi Tshiani” préconise plusieurs conditions pour être candidat à la présidentielle en République Démocratique du Congo. parmi ces conditions, voici quelques unes :

  1. Congolais d’origine, né de père et de mère congolais d’origine;
  2. âgé de 30 ans au moins;
  3. Jouir de la plénitude de ses droits civils et politiques;
  4. diplômé d’études supérieures ou universitaires (bac+5)
  5. Avoir l’expérience professionnelle d’au moins 5 ans dans le domaine politique, administratif ou socio économique; et
  6. Avoir la qualité d’électeur ou se faire identifier et enrôler lors du dépôt de sa candidature.

Selon les informations parvenues à acturdc.com, avoir une femme congolaise serait aussi une condition pour être candidat à l’élection présidentielle en République Démocratique du Congo.

En effet, l’annonce de ces modifications a semé des tensions indescriptibles dans les tanières de camps politiques. Les analystes estiment que cette dernière disposition se vœu un moyen d’écarter Moïse Katumbi, Martin Fayulu, Jean-Pierre Mbemba, et les autres de la course à la magistrature suprême.

Gaël Hombo/acturdc.com

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