Noël Tshiani Mwadiavinta et son émissaire Nsingi Pululu continuent à pulvériser les politiques congolais avec la loi “Tshiani”. Avec les nouvelles modifications apportées, la loi est devenue “la bête à abattre” dans l’optique que ces aspirations sont considérées par certains politiciens comme “suicidaires”.
La “loi Tshiani” préconise plusieurs conditions pour être candidat à la présidentielle en République Démocratique du Congo. parmi ces conditions, voici quelques unes :
- Congolais d’origine, né de père et de mère congolais d’origine;
- âgé de 30 ans au moins;
- Jouir de la plénitude de ses droits civils et politiques;
- diplômé d’études supérieures ou universitaires (bac+5)
- Avoir l’expérience professionnelle d’au moins 5 ans dans le domaine politique, administratif ou socio économique; et
- Avoir la qualité d’électeur ou se faire identifier et enrôler lors du dépôt de sa candidature.
Selon les informations parvenues à acturdc.com, avoir une femme congolaise serait aussi une condition pour être candidat à l’élection présidentielle en République Démocratique du Congo.
En effet, l’annonce de ces modifications a semé des tensions indescriptibles dans les tanières de camps politiques. Les analystes estiment que cette dernière disposition se vœu un moyen d’écarter Moïse Katumbi, Martin Fayulu, Jean-Pierre Mbemba, et les autres de la course à la magistrature suprême.
Gaël Hombo/acturdc.com