« Nous appelons à la vigilance du peuple congolais nous ne tolérerons aucune seconde de glissement en 2023 », a affirmé jeudi 20 janvier à Goma au Nord-Kivu, le coordonnateur chargé d’implanter le parti Nouvel Elan, Me Yannick Ramazani. Le parti du Premier ministre honoraire Adolphe Muzito constate qu’il n y’a pas de signaux qui prouvent que les élections auront lieu dans le délai constitutionnel.
« Aujourd’hui avec la CENI [Commission électorale nationale indépendante], les moyens financiers, matériels, et les moyens humains ne sont pas encore réunis. Les agents de la composante de cette CENI font l’objet de division de la classe politique. Vous avez lu le communiqué de la coalition LAMUKA, signé par l’ancien premier ministre, Adolphe Muzito, il y a péril en la demeure en ce qui concerne la composante de la CENI », a fustigé Me Yannick Ramazani.
Il a fait remarquer que Denis Kadima, actuel président de la CENI se plaint de ne pas avoir les moyens de sa politique.
« On doit entamer la loi sur la répartition des sièges, jusque-là rien n’est fait, [on n’a pas encore promulgué la loi] et cela ne nous rassure pas qu’on puisse aller aux élections qui seront légitimes », estime-t-il.
Me Ramazani plaide pour un consensus plus large « le plus tôt possible » pour que la RDC réussisse les élections de 2023.
« Nous appelons à la vigilance du peuple congolais nous ne tolérerons aucune seconde de glissement en 2023 », a affirmé jeudi 20 janvier à Goma au Nord-Kivu, le coordonnateur chargé d’implanter le parti Nouvel Elan, Me Yannick Ramazani. Le parti du Premier ministre honoraire Adolphe Muzito constate qu’il n y’a pas de signaux qui prouvent que les élections auront lieu dans le délai constitutionnel.
« Aujourd’hui avec la CENI [Commission électorale nationale indépendante], les moyens financiers, matériels, et les moyens humains ne sont pas encore réunis. Les agents de la composante de cette CENI font l’objet de division de la classe politique. Vous avez lu le communiqué de la coalition LAMUKA, signé par l’ancien premier ministre, Adolphe Muzito, il y a péril en la demeure en ce qui concerne la composante de la CENI », a fustigé Me Yannick Ramazani.
Il a fait remarquer que Denis Kadima, actuel président de la CENI se plaint de ne pas avoir les moyens de sa politique.
« On doit entamer la loi sur la répartition des sièges, jusque-là rien n’est fait, [on n’a pas encore promulgué la loi] et cela ne nous rassure pas qu’on puisse aller aux élections qui seront légitimes », estime-t-il.
Me Ramazani plaide pour un consensus plus large « le plus tôt possible » pour que la RDC réussisse les élections de 2023./radiookapi.net