Appelé à comparaître comme témoin dans le procès dit des 100 jours, le directeur général de la Direction Générale de Contrôle des Marchés Publics a fait une déclaration surprenante devant le tribunal. Depuis qu’il a été cité à comparaître comme, il fait l’objet de menaces de mort : « J’ai été victime de menace de mort, si je ne témoigne pas en faveur de l’un ou l’autre prévenu… » .
Le DG ad intérim de la DGCMP a déclaré que l’avenant du contrat des maisons pré fabriquées a présenté quelques irrégularités : » L’avenant qui a permi le décaissement de 57 millions n’était pas régulier. La Direction Générale du Contrôle des Marchés Publics DGCMP a écrit pour le dire. Aussi, nous n’avons jamais reçu de contrat entre signé entre la république et la société Samibo et la RDC ».
Le Directeur Général ad intérim montre que l’avenant signé dans le cadre du programme des 100 jours n’a pas respecté la procédure : « Un avenant ne peut excéder 15% du montant du contrat initial. Si cet avenant peut dépasser 225 %, comment il peut être considéré comme un avenant ? », s’est interrogé Ngongo Salumu.
Marco Emery Momo / Acturdc.com