Dans sa plaidoirie, le directeur de cabinet du chef de l’État a chargé les anciens ministres des finances et de budget, dans l’échec de la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement de base dans un premier temps. Il estime qu’il travaillait dans l’opacité.
Pour prouver sa gestion de la chose publique, Vital Kamerhe a vanté le succès de ses réalisations dans d’autre volets de ce programme d’urgence des 100 jours du chef de l’État. Ceci dans le secteur de l’éducation et de la santé. « Au moment où nous parlons, nous avons 132 écoles construites dans le cadre de 100 jours. Nous avons 42 centres de santé dont 32 équipées. Nous avons remis l’eau à Kitona, une première depuis 10 ans. Nous avons remis l’eau au camp Kokolo ».
Pour Kamerhe, c’est étonnant que la dotation de 2000 maisons aux militaires, et 1000 maisons aux policiers soit considérée comme une mauvaise chose. Enfin Kamerhe juge son procès politique, car aucune pièce irréfutable démontrant son détournement des deniers publics n’a été présentée.
Glody Tholi / Acturdc.com