Tshisekedi tue et repend la terreur pour asseoir son pouvoir, disent des indiscrétions. Après la révélation de la cause de la mort de Chérubin Okende par le procureur général, les yeux accusateurs de tous ce sont tournés vers un homme : le Chef de l’État Félix Tshisekedi. Le garant de la Nation est cité dans le meurtre du proche de Moïse Katumbi par tous les leaders de l’opposition.
Pour Claudel Lubaya, le pays connaît un voyage affreux dans le passé ; passé nourrit par le maintien d’un régime par la terreur et le sang de la population congolaise. Les vieux démons du passé refont surface. « Curieusement, plusieurs années après, les mêmes méthodes [ de MOBUTU] refont surface, sous le régime du Président TSHISEKEDI, et dans un le même but qu’autrefois : imposer la terreur, susciter la peur et réduire au silence toute opposition à son pouvoir pour qu’il reste, à l’instar de Mobutu : L’Homme Seul, L’Autocrate, Le méchant Dictateur», a écrit l’ancien gouverneur.
Dans cette allure, tout le monde craint la renaissance d’un passé trouble et d’un épisode de triste mémoire. Pour le politique ci-haut cité, le baobab tombera comme son idole, sans faute. « Et puisque les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, la suite, personne ne l’ignore. Un pouvoir qui utilise la justice à des fins politiques, pour diffamer les dissidents et les réduire au silence, qui use des invectives, de la brutalité, suscite la peur, entretient des milices partisanes, réprime les libertés et assassine ses opposants n’est rien d’autre qu’une dictature sanguinaire», a conclu Claudel Lubaya.
Gaël Hombo
