Arlette Odia Kashama, présidente du Collectif pour le Développement et l’unité du Congo (CDUC) a indiqué que l’ancien président, Joseph Kabila a prouvé durant l’exercice de son mandat son leadership par sa capacité organisationnelle et sa mise en valeur des talents de ses collaborateurs.
Me. Arlette Odia Kashama dit aussi avoir de l’admiration pour tout ce qu’a été Joseph Kabila pour la République Démocratique du Congo (RDC).
« D’abord, parce que j’ai arrêté de croire aux mensonges, ensuite, parce que je suis à la tête d’une structure qui prône l’Unité des Congolais. On peut reprocher des choses à sa gouvernance, pas à son Leadership », a écrit cette actrice de la société civile sur son compte Twitter.
Elle rend donc hommage à cet esprit de résistance patriotique, qui a réussi à faire échec au plan de déstabilisation de notre pays par les assassins de Patrice Lumumba et Mzée Kabila.
« Il n’est plus aux affaires, il n’y a plus des raisons de le haïr, surtout pas pour des colportages. Que ce qu’il n’a pas su faire soit fait par ses successeurs. Il n’a arrêté ni le temps, ni la reproduction de nos ressources. C’est dans l’Unité que nous bâtirons une Nation prospère », a déclaré Arlette Odia.
On se le rappellera que Joseph Kabila avait pris lors de son investiture le 26 janvier 2001 quelques engagements qu’il a réalisés au moment de quitter le pouvoir en janvier 2019.
1. Celui qui se fit appeler raïs a mis un terme à la guerre en réunifiant, pacifiant le pays et réaffirmant la souveraineté de la RDC ;
2. Il a relancé le dialogue politique interne dans le but de réconcilier les Congolais avec eux-mêmes ;
3. Il ouvrit le Congo à son environnement africain et au monde par une redynamisation de la diplomatie ;
4. Il a restauré les grands équilibres macroéconomiques et créer les conditions de la croissance par la libéralisation de l’économie ;
5. Consolider la démocratie et garantir les Droits de l’Homme ;
6. Reconstruire le pays dévasté par la guerre ;
7. Conduire le peuple congolais à des élections libres, crédibles, démocratiques et transparentes ;
8. Passer le flambeau à son successeur, de surcroît, de l’Opposition.
Il y a lieu de rappeler que des décennies de mégestion avaient alors profondément déstructuré la Nation. A cause de la guerre d’agression de 1998, notre pays s’était davantage enlisé dans un cycle infernal de séditions, sévices, pillages, spoliations et massacres./mediascongo.net