Plus les audiences s’enchaînent dans le procès des détournements des fonds alloués aux travaux du programme d’urgence des 100 premiers jours du chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo au pouvoir, plus Vital Kamerhe perd le contrôle et plus la vérité commence à se dessiner. Le mercredi 03 juin 2020 lors de la troisième audience de ce procès précité, le prévenu Vital Kamerhe s’est vu contredit par tous les témoins du jour. À côté de cela, l’opinion publique regardait et suivait un Vital Kamerhe en perte de vitesse, donc un Vital Kamerhe différent de l’habituel. Moins arrogant, présentant des excuses après une erreur, agité, etc…, bref, un Vital Kamerhe coincé.
Caractérisé par tout ce qui précède et emporté par le côté sentimental lorsqu’il s’agissait de sa famille, le « pacificateur » Vital Kamerhe a commis une bourde en faisant une affirmation pas polie, sur le président de la république Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Répondant à la question du tribunal voulant savoir si monsieur Vital Kamerhe était au courant que sa Belle fille Soraya Mpiana avait acquis un terrain de monsieur Jammal, Vital Kamerhe répond aux juges: « Quand j’ai vu que sur les réseaux sociaux il se raconte que ma fille Soraya a bénéficié d’une parcelle, j’ai moi même imprimé ça et je suis allé en personne montrer ce document au Président étant donné qu’il passe beaucoup de temps sur les réseaux sociaux, alors je voulais le lui montrer. Car, je ne me reproche de rien, et le président m’a même dit qu’ils avaient mal écrit le nom de ma fille » , répond Vital Kamerhe à la question du Tribunal.
Est-ce normal une telle déclaration sur le Chef de l’Etat en publique? C’est la question que nous nous posons, quand nous voyons monsieur Vital Kamerhe vouloir faire passer le président de la république Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo devant le peuple pour quelqu’un qui est tout le temps sur les réseaux sociaux, et surtout que cette déclaration est faite en pleine instruction d’un dossier aussi sensible que celui la?
Trésor Trésor / Acturdc.com