Le président du parti Alliance pour le changement (Ach), l’ancien premier vice-président de l’assemblée nationale, Jean Marc Kabund a créé au sein de son parti, une commission spéciale pour élaborer le programme de gouvernance de son parti en cas de l’élection de Jean Marc comme président de la RDC.
« Entendu que l’Alliance pour le Changement, A.Ch en sigle fera de ce projet du programme d’action un outil principal ou mieux une boussole dans la gouvernance prochaine de la R.D.Congo:…Est créée ce jour au sein du Parti Alliance pour le Changement, une Commission spéciale et temporaire chargée de l’élaboration du projet du programme d’action quinquennal de gouvernance de la R.D.Congo pour le compte du Parti. La Commission spéciale et temporaire chargée de l’élaboration du projet du programme d’action est dotée d’une coordination subdivisée en quatre Sous- Coordinations », renseigne la décision de Jean Marc Kabund
Selon cette décision de l’ancien président de l’UDPS, cette commission a pour mission » faire l’état de lieu complet de la situation générale du pays; de proposer des réformes à mener dans les secteurs clés « .
» Ce programme d’action a pour missions spécifiques : – de faire l’état de lieu complet de la situation générale du pays; de proposer des réformes à mener dans les secteurs clés de la vie publique : – d’élaborer un budget prévisionnel type étalé sur une période de cinq ans tenant compte des retombés liés aux réformes à mener dans les secteurs économique et financier: de répartir et d’affecter le budget prévisionnel secteur par secteur, conformément au projet de société du parti :- d’élaborer un plan d’urgence national de développement du pays en identifiant les secteurs prioritaires ».Les élections présidentielles législatives nationale et provinciale sont prévues pour le 20 Décembre 2023. Plusieurs personnalités ont déjà annoncé leurs candidatures notamment Jean Marc Kabund, Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Félix Tshisekedi. Pour ce concerne Kabund, il est poursuivi pour avoir tenu depuis juillet 2022 des propos qualifiés d’injurieux de nature à alarmer la population et à porter atteinte à l’honneur dû aux institutions publiques et à la dignité du Chef de l’Etat.
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