Dark Kabangu, ancien international congolais, a récemment déclaré que 90 % des joueurs congolais croyaient aux fétiches, ce qui pouvait expliquer la brièveté de leur carrière.
Cette déclaration a suscité de nombreuses réactions dans le monde du football, notamment en République Démocratique du Congo. Certains ont critiqué les propos de Kabangu, affirmant qu’ils stigmatisaient les joueurs congolais et qu’ils n’étaient pas fondés.
D’autres, en revanche, ont soutenu Kabangu, affirmant que la croyance aux fétiches pouvait affecter la carrière des joueurs. Selon eux, certains joueurs se laisseraient convaincre par des « marabouts » ou des « ngangas » (des sorciers traditionnels) qui leur promettent succès et fortune en échange de rituels et de sacrifices.
Cette croyance aux fétiches ne se limite pas aux joueurs congolais, mais est présente dans de nombreux pays africains. Certains joueurs, cependant, refusent d’y croire et préfèrent se concentrer sur leur travail et leur discipline pour réussir.
Il est important de souligner que la déclaration de Kabangu ne doit pas être prise comme une généralisation de tous les joueurs congolais. Chaque joueur est différent et a ses propres croyances et motivations.
Il est également important de rappeler que le football est avant tout une question de talent, de travail acharné et de discipline, et que la réussite ne dépend pas nécessairement de la croyance ou non aux fétiches.
Rédaction