Là où l’animal s’abstient, l’homme veut héroïquement s’y essayer. Cette-fois, l’incroyable se filme et se raconte. Des jeunes femmes s’adonnent à cœur joie à la consommation des matières fécales à Dubaï. Histoire à disjoncter.
Que de témoignages, d’images et de photos. Il ne s’agit pas des scènes de tournage simulé des films d’action mais d’une pure réalité. Des jeunes femmes généralement belles rêvent d’aller passer quelques moments de vacances à Dubaï, une ville et un émirat des Émirats arabes unis réputé pour son shopping de luxe, son architecture ultramoderne et sa vie nocturne animée. Sur place, il se développe un autre type de business, plus satanique sûrement, qui pousse les grands hommes d’affaires (milliardaires) à se prélasser jusqu’à décider d’humilier les quelques africaines en quête d’une vie meilleure. Ces magnats se servent désormais des femmes essentiellement d’origine africaine pour satisfaire leurs émotions, leurs ébats et désirs sexuels jusqu’à étancher leurs soucis spirituels.
Des congolaises mangeuses de caca humain
De plus en plus, ce sont des jeunes femmes qui choisissent d’aller goûter à ce mal de l’enfer en se rendant volontairement dans ces laboratoires des inhumains où des groupes de pervers décident de les dévorer et de les humilier filmées pour une somme avoisinant les 20.000$ USD. Même si les enquêtes de la police à Kinshasa n’ont pas encore démantelé ce réseau, il s’avère que beaucoup de jeunes femmes qui roulent carrosse brandissant à grand coup une certaine vie d’opulence cachent bien de secrets nauséabonds. Elles s’habillent au-dessus de possibilités soupçonnables et donnent l’impression d’avoir tout réussi dans la vie. Elles auraient pour mission d’influencer davantage des jeunes femmes à emprunter leur tragique voie. Dans leur univers, Dieu, la dignité, la famille, la loi et les droits de l’homme sont foulés aux pieds. Leur unique souci serait de goûter à l’Eldorado. Ce phénomène suscite honte et humiliation internationale pour les peuples africains.
Ça tue
Des conséquences, il en existe à tous les niveaux. Cette pratique apocalyptique entraîne près de 6 maladies dont l’hépatite, les vers intestinaux, des parasites, des amibes, la poliomyélite et le stress post traumatique. Voilà qui fait étonner. Que de personnes humaines décident de manger les matières fécales d’autres personnes, d’une race soient-elles. D’après une étude récente, le syndrome du stress post-traumatique ouvre la voie aux maladies mentales telles que la dépression, la folie et les risques suicidaires qui s’ent suivent voire même la mort. Sur le plan spirituel, ces bestialités n’apporteraient pas de plaisir ni de fantasme sexuel dans cette affaire aux fameux milliardaires. Il s’agirait d’un moyen très efficace de se débarrasser d’un sort ou d’un engagement mystique à condition de pouvoir le transmettre à un autre humain vivant et le concerné doit être consentant. Ces vampires renouvelleraient ainsi leurs contrats spirituels avec les démons en se débarrassant des anciens sur les personnes scato-phi-liées. Elles deviennent donc porteuses d’engagements qu’elles ne maîtrisent pas et sont désormais soumises à l’applications de ceux-ci. Question, les Congolaises qui s’offrent à ces fantômes savent-elles combien elles exposent leurs familles, leurs amis et connaissances au danger ? Les gouvernements africains doivent se ressaisir et mettre en place une législation qui interdit à l’homme de s’autoriser un interdit./ouragan.cd
