En République Démocratique du Congo chaque semaine, une polémique politicienne chasse une autre. Pour aider à mieux comprendre le sujet qui défraie la chronique, il est devenu nécessaire que Moïse katumbi sort de son silence.
C’est une source généralement bien informée qui livre l’information à la presse.
Peut-on s’accorder que le silencieux président de l’équipe de football TP Mazembe, Moïse katumbi quitte le camp du statut de politicien docile.
Au-delà de toute apparence, le calme richisime congolais tente de calmer l’inquiétude de la proposition de Noël Tshiani sur la nationalité d’un présidentiable.
« Ne soyons pas distraits. Ne suivez pas les bruits de couloirs », exhorte t-il.
A ceux qui sont tentés de répondre aux provocations, Katumbi formule que: » ce n’est pas parce qu’on ne parle pas qu’on a peur ou qu’on n’a rien à dire ».
Par ailleurs, il prévient que le moment de répondre au sujet qui fait monter la fièvre sur les réseaux sociaux arrive d’ici-là.
« Ce moment-là viendra bien assez tôt ! », lache t-il avant de rassurer qu’ ENSEMBLE POUR LA RÉPUBLIQUE ne sera jamais un parti d’injures.
Mais précise t-il, « partout où il y aura de l’injustice, de la calomnie, de la
corruption, nous serons debout et intransigeants pour faire front et défendre nos valeurs ».
Noël Tshiani, candidat malheureux à la dernière présidentielle en RDC propose que seuls les congolais d’origine du père et de la mère, doivent être candidat président de la République.
Certains observateurs font comprendre que cette loi est taillée sur mesure, pour écarter Moïse Katumbi de la course présidentielle de 2023, afin de laisser Félix Tshisekedi compatir seul à ce scrutin tant attendu par les congolais.
24h.CD/acturdc.com