Congo Hold-Up : le CNPAV exige une sanction contre des criminels économiques pour haute trahison

Le Congo n’est pas à vendre, se dit satisfait à travers un communiqué signé ce lundi 22 novembre 2021, de l’enquête menée par le Consortium international des journalistes d’investigation et des organisations de la Société civile sortie le vendredi 19 octobre 2021 révélant des pratiques systématiques de corruption et de détournement des biens publics impliquant plusieurs personnalités congolaises et étrangères, ainsi que des entreprises et institutions congolaises et internationales, au profit de la famille de l’ex président Joseph Kabila et ses alliés.

Pour le Congo n’est pas à vendre, il est important que ceux qui sont censés nous diriger et travailler pour le bien commun soient aussi sanctionnés pour leur trahison.

«Ces nouvelles révélations constituent et justifient le combat que mène le Congo n’est pas à vendre contre la grande corruption », a affirmé le professeur Florimond Muteba, PCA de l’ODEP et président de comité de pilotage de la coalition. Pour la coalition de ces organisations non gouvernementales, le moment est venu pour nos autorités de combattre cette criminalité économique à col blanc qui non seulement appauvrit nos populations mais participe également à tuer notre démocratie.

L’enquête menée par les médias internationaux et quelques journalistes de l’espace européen fait état de plus de 3,5 millions de documents de la BGFIBank révèlent comment la banque a ouvert la porte du système bancaire international à des réseaux suspects. Les enquêtes montrent qu’au moins 138 millions de dollars de l’argent public de la RDC ont transité par la BGFIBank vers des sociétés appartenant au cercle restreint de l’ancien président Joseph Kabila.

tieselka.com

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