Trois rencontres ont ponctué la première journée de la Coupe d’Afrique des Nations le 12 janvier au Cameroun. Parmi les rencontres très attendues au menu de cette journée, il avait le choc Mali contre Tunisie qui s’est joué et laissé une histoire pas bonne a entendre. Dans un duel des aigles, c’est ceux du Mali qui ont sauté plus haut pour chercher la victoire.
Koné le capitaine des aigles du Mali a fini par trouver le chemin de but à la quarante-huitième minute de jeu. Les tunisiens ont obtenu un penalty qui a été raté par Wahbi khazry qui trouve la main gauche de Mounkoro sur ses appuis. Le gardien du Tout Puissant Mazembe Ibrahim Mounkoro a été élu homme du match grâce à ses arrêts décisifs dans cette explication.
Pourtant plaisant, la rencontre Mali contre Tunisie sera gâché dans les dix dernières minutes de la rencontre. L’un des grands sifflés du continent africain, Jany Sikazwe va commettre des fautes inimaginables. A la 85ème minute, l’arbitre central met fin à la rencontre sans aucune raison connue… Sur réclamation des tunisiens qui avaient un retard à refaire dans ce match, il va rappeler les 22 acteurs sur l’aire de jeu. Les deux aigles vont poursuivre le matchs.
A la grande surprise de tous, les deux équipes n’ont joué que 4 minutes. Le zambien met fin complètement à la rencontre. Le temps réglementaire ne va pas s’épuiser. Il n’y a donc pas eu non-plus le temps additionnels malgré les 9 changements opérés dans ce match.
Il se pourrait que le zambien Jany Sikazwe avait déjà fait signe d’un malaise sanitaire avant le match. Mais il a tout de même officier la rencontre et celà se serait encore manifesté au cour de la rencontre. Ce qui l’aurait pousser à mettre fin à la rencontre avant la fin du temps réglementaire. Une chose qui a indigné les sportifs. Ceci n’est pas une bonne image pour le sifflé africain. Alors que l’homme est parmi ceux qui sont souvent appréciés Come les bons arbitre en Afrique.
Bien qu’apprécié par beaucoup, Sikazwe n’est pas à son premier forfait. Deux autres grosses fautes ou bêtises le collent. En 2013, lors des éliminatoires à la coupe du monde de 2014, à l’étape des barrages dans l’opposition entre le Burkina Faso et l’Algérie, il avait attribué deux pénaltys imaginaires aux étalons. En 2018, en finale de la ligue des champions entre l’équipe de Primeiro de Agosto d’Angola et l’Espérance Sportive de Tunis de la Tunisie. Deux buts très discutables avaient été accordé par ce même arbitre, Jany Sikazwe.
L’on se demande si réellement il avait mal, pourquoi ne s’est-il pas fait remplacer par le quatrième arbitre? Ce qui est d’ailleurs prévu par les règlements.
La Tunisie est à l’attente de la réaction de la CAF qui doit trancher, car juste après la Fédération Tunisienne a introduit une réserve technique pour tirer l’affaire au claire…
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